⭐ A propos … de moi ⭐

Une présentation s’impose…

Je m’appelle Pauline Sidoti, je suis Suisse et je suis ce qu’on appelle une geek ! Et voici ma personne avec plusieurs facettes, car je suis comme ça !

Vie professionnelle

J’ai commencé ma vie professionnelle en faisant un apprentissage dans une école d’horlogerie. Après avoir décroché mon CFC et ne sachant pas si le domaine allait me plaire tout au long de ma vie, je me suis inscrite à une formation de bijouterie dans une autre école.

Suite à quatre longues et difficiles années loin de chez moi et dans un cadre scolaire dédaigneux, la goutte d’eau qui fait déborder le vase est l’échec à l’examen final, en pratique pour quelques dixièmes de points. (C’est éliminatoire !)

Pour passer à autre chose et avancer, je me suis mise au service de plusieurs grandes usines horlogères au fil des années, mais avec hélas peu de succès.

En parallèle, j’ai quand même accumulé des fournitures, des outils au cas où la bijouterie reviendrait dans ma vie. Grâce aux bijoutières autodidactes, j’ai réalisé que mon sentiment d’illégitimité était bien trop présent et que ma créativité était muselée depuis trop longtemps… Telle une flammèche, je l’ai vu devenir un beau feu de camp où je vous invite, voyageurs, à prendre une pause aujourd’hui.

Et la Pop culture?

Elle a toujours été présente dans ma vie. Gamine, j’ai découvert des petits monstres de poches et je suis tombée dans les jeux vidéo assez rapidement.

Adolescente, c’est les mangas qui m’ont tendu les bras et je suis tombée dedans encore plus profondément. Oui, je suis une fan du Japon ! 🌸

Je me retrouve dans cette communauté de passionnés, car c’est ça, être geek : c’est être passionné de pleins de choses. J’adore voir les gens en convention et partager mes coups de cœur, mes déceptions, argumenter et m’éclater.

Les jeux vidéo, les mangas, les BD, les comics, les films, les séries ! Il y en a pour tous et toutes, et je trouve mon bonheur dans une bonne histoire vue, lue ou jouée !

Changement de cap !

Ça y est, j’ai quitté le monde des usines et du rendement infernal. Une petite maladie handicapante, invisible et non reconnue par le système de santé, et me voilà éjectée du système bien huilé…

Bien que je puisse largement travailler, rien n’est certain. J’ai comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête : j’ai le choix de me relancer dans le système qui n’est franchement pas accueillant ou d’essayer avec un brin d’espièglerie de me lancer à mon compte dans l’artisanat.

Ah ! L’artisanat, cette chose que j’ai toujours mise en avant en consommant et en privilégiant cet art. Car oui, pour moi, c’est un art comme un autre. C’est faire de ses mains et sortir de son esprit un petit je-ne-sais-quoi qui fait toute la différence avec les autres biens de consommation ! Il faut de la créativité pour se lancer dans un business manuel et j’en ai à revendre.

Je me fais plaisir et je te fais plaisir !